Première description, premier contact
Première description, premier contact avec la Nouvelle Orléans
TOURISME
La Louisiane, première description
La Louisiane se situe dans un climat difficile, et se caractérise par son climat subtropical
Chaleur et humidité sont les deux constantes du climat subtropical louisianais.
Les températures sont en conséquence de très agréables à très désagréables tout au long de l’année, variant entre 12°C (minimum) en hiver et 40°C les après-midi du mois d’août.
Il ne neige jamais sauf exceptionnellement dans le nord de l’Etat. L’hiver est doux mais très inégal: vous vous habillez en T-shirt un jour, le lendemain vous ressortez un blouson.
Un printemps magnifique
Le printemps est magnifique (surtout avril et mai), l’air est tiède, il ne fait pas encore humide et la végétation est en pleine floraison. A partir de juillet, le taux d’humidité, qui frôle les 80 %, rend la chaleur étouffante. Le mois d’août marque le grand rendez-vous avec les orages violents et il n’est pas rare de voir les rues se remplir de cinquante centimètres d’eau en une demi-heure. Août peut aussi être la saison des tornades et ouragans dévastateurs comme l’a été Andrew en 1992 ou Katrina en 2005. L’automne est une très belle saison: la végétation tourne au rouge et or, les températures sont agréables sans humidité excessive.
On se baigne dans les piscines extérieures jusqu’au 15 novembre sans problème.
Pour apprécier pleinement les charmes de la Louisiane, essayez de partir au printemps ou en automne … si vous avez le choix bien sûr!
La Louisiane et son territoire
Occupant un territoire grand comme un quart de la France, la Louisiane se partage en cinq régions aux paysages très différents qui tous, cependant, ont un point commun :
l’absence de relief et une altitude proche du niveau de la mer. Cela est vrai partout sauf dans le nord de l’Etat où de petits vallons viennent casser la monotonie d’un paysage somme toute magnifique.
La Nouvelle Orléans et sa région
Au sud-est de l’Etat, deux paysages se reflètent dans le lac Pontchartrain. Au nord, des forêts de pins entourent des prairies où paissent d’importants troupeaux de bétail. On vient y faire de longues balades à cheval, visiter des parcs fleuris ou écouter les explications du spécialiste des alligators de la ferme de Hammond.
Lac Pontchartrain et ses bayous
Le lac Pontchartrain doit son nom au ministre de la Marine qui favorisa l’essor de la Louisiane sous Louis XV. Long de soixante kilomètres et large de quarante kilomètres, il se jette dans le golfe du Mexique. C’est le plan d’eau favori des amateurs de voile (le Southern Yacht Club est d’ailleurs le deuxième club des Etats-Unis par son ancienneté)
Le lac est traversé par le plus long pont en dur du monde, le Lake Pontchartrain Causeway (37 km).
Au sud du lac, des cyprès aux allures fantomatiques peuplent les bayous marécageux.
La pointe la plus au sud, Grand Isle, est le paradis des pêcheurs mais l’eau boueuse du golfe incite d’autant moins à la baignade que les silhouettes de dizaines de plates-formes pétrolières se profilent à l’horizon. Les Louisianais préfèrent prendre leurs bains de mer vers Gulfport, dans l’Etat voisin du Mississipi, ou bien à Pensacola, en Floride, qui n’est qu’à quatre heures de route de La Nouvelle Orléans.
Le pays des plantations en Louisiane
Le pays des plantations s’étend du Mississippi (le fleuve) jusqu’à la frontière de l’ Etat du Mississipi. Avant la guerre civile, plus des trois quarts des millionnaires américains vivaient dans de somptueuses maisons entre Natchez et La Nouvelle Orléans. Les restes de ces splendeurs sont plus ou moins bien conservés. Aujourd’hui la plupart des plantations à visiter se trouvent le long du Mississipi.
Non loin des plantations, les champs de canne à sucre et de coton disputent le terrain aux complexes chimiques qui ont progressivement envahi la rive sud du fleuve.
Au bord des routes et dans les jardins, de magnifiques chênes bravent les ouragans depuis des siècles. Il existe d’ ailleurs une association de protection du chêne mais face aux tornades, les hommes ne sont que faibles roseaux!
(Source francophone à retrouver)


Partageons notre passion de la Nouvelle Orléans de 1700 à 1860.
Norbert Soulié , avec Bayou-Creole, explore l'histoire de la Nouvelle-Orléans, de 1700 et 1860, à travers ses recherches, ses ancêtres et des chercheurs passionnés par cette ville unique.